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extrait du site allègre démission: http://www.geocities.com/Athens/Thebes/8739/

Philippe MEIRIEU est le principal conseiller de Claude ALLEGRE : directeur de l'INRP, il a conduit l'an dernier l'opération « consultation » qui s'est déroulée dans les lycées. Inspirateur des réformes actuelles dans les premier et second degrés, Philippe MEIRIEU se fait naturellement dans la presse leur défenseur le plus ardent, au nom, prétend-il, de l'idéal républicain. 

Philippe MEIRIEU a aussi écrit des livres dans lesquels, pour dénoncer l'école d'aujourd'hui et le travail que vous faites, chers collègues, que nous faisons tous, il prend moins de précautions que dans ses articles récents.

Voulez-vous vous faire une idée de ce que Philippe MEIRIEU pense de vous et de l'image de vous qu'il propose à l'opinion ¯ image sur laquelle reposent pour une large part ses projets de réforme ?

Voici quelques extraits de son ouvrage écrit avec Marc GUIRAUD, journaliste à Europe 1 (à quand la leçon de pédagogie que nous feront sans doute bientôt les présentateurs et animateurs de Chérie FM ou de Skyrock?) et intitulé L'école ou la guerre civile
  L'école ou la guerre civile (extraits)

« C'est en apprenant à lire que [l'élève] découvre la concurrence et comprend que, dans l'esprit du maître et de ses parents, la réussite des uns ne prend sa valeur qu'avec l'échec des autres. » (p.12)  

« L'échec de l'école coûte aussi très cher aux familles et aux collectivités, obligées d'investir dans les leçons particulières, cours de vacances, rattrapages ou soutiens scolaires de tous ordres.(...) Et c'est en termes sociaux que l'échec scolaire a les conséquences les plus graves : cela va des comportements d'incivilité dus à la simple ignorance des bases mêmes de notre société (...) jusqu'à la violence des jeunes qui « ont la haine ». Marginalisés, ces derniers mobilisent une kyrielle de travailleurs sociaux et de formateurs en tout genre qui s'efforcent tant bien que mal de réparer, si c'est encore possible, les dégâts de l'école défaillante. »(p.18) 

« L'histoire de l'école française, construite contre les familles, contre les pauvres obligés de scolariser leurs enfants plutôt que de les envoyer au travail et contre les riches qui voyaient régresser l'influence de l'Eglise, explique le malaise, tantôt caché, tantôt avoué, entre l'école et les parents. Tant que, d'une part, l'école consolidait la patrie en danger et que, d'autre part, elle laissait entrevoir l'espoir d'une promotion sociale, les Français acceptaient qu'elle concurrence et même supplante leur influence. Mais ces deux rôles majeurs ont disparu et, avec eux, la légitimité même de l'institution. » (p.34) 

« Le professeur qui met une mauvaise note contribue à pousser l'élève vers la sortie : le voilà presque coupable de non-assistance à personne en danger. Ainsi s'expliquent, quoique inexcusables, un certain nombre de réactions violentes d'élèves et même de parents. » (p.38) 

« Dès le jour de la première épreuve [du baccalauréat], des intellectuels en vogue de prêtent au jeu de la dissertation philosophique, histoire de se mettre au diapason de l'émotion nationale !

Peu importe le coût, de plus en plus exorbitant d'une telle opération. Peu importe le caractère contestable des épreuves. Peu importe qu'elles contraignent les enseignants à sacrifier des pans entiers de notre culture au profit d'un bachotage stérile. Le symbolique l'emporte sur la rationalité, un grand frisson s'empare de la population. » (p.55) 

« Pendant que l'enseignant parle, chacun vaque à ses occupations, range son cartable, prépare son devoir pour l'heure d'après, écrit son courrier ou songe à la récréation ; de temps en temps, si une image frappe l'imagination, alors l'attention s'éveille brièvement : « Tiens, c'est pas idiot ce qu'il dit .... Dommage qu'on ne puisse pas de temps en temps changer de chaîne ! » (p.70) 

« Le libéralisme larvé pousse nombre d'établissements à créer des filières d'élite camouflées. On les appelle classe «internationale », «européenne » ou «bilingue ». Elles renforcent la ségrégation issue de la géographie urbaine, permettent de se retrouver entre bons élèves et d'éviter les mauvaises fréquentations. » (p.80) 

« Ici réside l'origine véritable de la fracture sociale, du malaise de la jeunesse et du mal des banlieues : la fracture scolaire  (souligné par nou). Si les enfants vivaient moins d'injustices à l'école, si les jeunes des cités avaient plus de chances de réussir leurs études et si, pendant la scolarité obligatoire, elles étaient mieux conçues, ils croiraient davantage à leur avenir. Mais, dès le cours préparatoire, l'école n'aide pas à réussir, elle sélectionne. Si tous les jeunes pouvaient croire, ne serait-ce qu'une seconde, que l'école les aidera à devenir quelqu'un dans la société, à accéder à un statut social, avant même de décrocher un emploi, ils la fuiraient moins, la casseraient moins, la respecteraient plus. Hélas, l'emploi manque et le statut social leur échappe. Confrontés à l'humiliation au quotidien, ils n'ont aucune raison de respecter une institution qui ne met pas en pratique les valeurs qu'elle annonce et bafoue les principes dont elle exige le respect. » (pp. 81-82) 

« (...) si l'école (...) rejette (tel ou tel élève), qui l'éduquera ? Qui lui apprendra la Loi et le respect des règles nécessaires à toute vie collective ? Restent les bandes du quartier, les groupes de supporters, les sectes de tous ordres, avec l'abandon de toute réflexion personnelle et le triomphe de la loi du plus fort. Inévitablement, on retrouvera cet adolescent délinquant, marginal, violent. Qui sera responsable ? Sa famille, la société tout entière, mais aussi l'école qui a démissionné. » (p.98) 

« ( ...) la crispation de chaque professeur sur  'sa'  méthode, qui seule lui permet de survivre face à sa classe, participe aussi à l'exclusion. Quand le professeur applique une méthode pédagogique unique, seuls les élèves qui lui ressemblent sont à même de comprendre et de travailler. »(p.101) 

« pour aller vers des classes de plus en plus homogènes, parents et enseignants poussent, chacun de leur côté, à regrouper les élèves en fonction de leur niveau, de leurs affinités, de leurs origines sociales, culturelles, voire ethniques, quand ce n'est pas (...) en fonction de leurs options idéologiques ou religieuses. » (p.103) 

« Si nous abandonnons l'école à elle-même et aux démons de la société, nous risquons de voir nos grandes villes subir le sort de Sarajevo et la France celui de la Yougoslavie. » (p.108) 

« Untel vient d'un quartier à fort taux de chômage : on le traite bientôt comme un malade. Fils d'ouvrier, c'est grave ? On s'en remet ? la perte d'emploi, c'est contagieux ? Et il existe, c'est certain, des élèves qui restent cancres ou asociaux, simplement pour respecter l'image que les adultes ont d'eux. » (p.109) 

« (...) celui qui a raison est toujours le même ... celui qui a les diplômes, celui qui crie le plus fort » (p.110)

« sans exigence de solidarité, (la société) se laisse fasciner par la raison arrogante, bascule vers la colonisation violente des «barbares » ou l'exclusion de ceux qui ne veulent pas «entendre raison ». (p. 111) 

« Les partisans de l'école sanctuaire souhaitent en faire un havre de paix et de bonne conduite dédié au savoir, un temple réservé aux enfants déjà éduqués qui connaissent et respectent, avec dévotion ou hypocrisie, le déroulement de la messe. Ces idéologues renoncent à dialoguer avec les jeunes qui ne leur ressemblent pas. Ils abandonnent, plus ou moins explicitement, la formation aux valeurs essentielles, fondatrices de toute socialité. Ils renforcent les ghettos, fragmentent la société, favorisent les tensions dans les entreprises dues à l'absence de dialogue social. Ils préparent le terrain aux émeutes dans les banlieues, aux guerres civiles et au terrorisme. » (pp. 113-114)

« D'après une enquête effectué (sic) par le ministère en 1996, les enseignants consacrent presque 50% de leur temps de travail aux heures de cours proprement dites, 22% à leur préparation, 19% à la correction des copies ... et seulement 9% au suivi des élèves, entretiens avec les familles ou réunions pédagogiques. C'est dans ce (sic) 9% déplorablement insuffisant qu'il faut chercher les causes de la violence et de l'échec scolaires. L'établissement apparaît comme une sorte de château hanté traversé part de rares ombres et dont l'essentiel du fonctionnement repose sur quelques héros des temps modernes : le directeur ou le chef d'établissement, le conseiller d'éducation, la documentaliste, un professeur d'éducation physique, le chef cuisinier et le concierge... (p.121) 

« Finalement, faire un cours n'est pas si difficile » (p.122) (souligné par nous) 

« Le recours au politique, et lui seul, fondera l'indépendance de l'école obligatoire (...) Une indépendance qui garantisse aussi la population contre l'arrogance et l'impunité dont l'institution scolaire fait parfois preuve. » (p.124)

« L'école a la manie de s'attacher à la première impression donnée par un élève. Elle catalogue, trie les bons des mauvais et les oriente (...) La mauvaise note est perçue comme une mise en cause personnelle (...) En fait, ce qui décourage l'enfant, ce n'est jamais la difficulté, mais l'absurdité de ce que l'école lui propose et dont il ne perçoit pas le sens. » (p. 133) 

« Du reste, on n'apprend pas aux élèves à anticiper l'usage qui pourrait être fait de ce qu'on leur présente. Les contrôles, les compositions, les examens, ils n'apprennent pas à les préparer en classe. » (p. 135) 

« Tu vas te taire, [dit le maître], arrêter de bouger et d'insulter tes camarades, parce que je te l'ordonne, voilà tout ! » Ou encore : « Tu vas manger parce que je te l'impose. » (...) C'est un bras de fer sans autre issue que la violence. Elève ou professeur, enfant ou parent, le plus faible est irrémédiablement atteint et portera longtemps les stigmates de sa défaite (...) Il faut que l'affaire solde par un mort ... symbolique, bien sûr ! » (pp. 136-137) 

« Car voilà ce qui bloque fondamentalement le fonctionnement de l'école : les rapports humains y sont régis par la force, la séduction ou la violence... » (p.137)  

« Les enseignants fabriquent de la délinquance quand leur pédagogie et leur comportement démontre aux élèves que le seul pouvoir toléré dans la classe est celui de la force, quand l'expression authentique et personnelle n'est jamais possible, la dissimulation objectivement encouragée, quand chacun doit serrer son poing dans sa poche parce qu'il sait qu'il ne peut pas (il n'en a ni les moyens ni le droit) tenter de dire ce qu'il pense, (souligné par nous) expliquer ce qui l'aide à travailler, ce qui l'intéresse et les questions qu'il se pose. » (pp. 148-149) 

« L'école aujourd'hui ne forme pas les élites, elle se contente de les sélectionner. » (p. 164) 

« Seuls ceux qui sont favorisés au départ et soutenus en permanence par leur famille peuvent suivre sans dommage une scolarité qui ressemble à un parcours du combattant. » (p.167)

« (...) trop souvent, aujourd'hui, l'élève en difficulté bâcle son travail, il est payé d'une mauvaise note et les choses s'arrêtent là. Chacun a rempli son contrat ... et l'élève ne progresse pas. De telles méthodes devraient être interdites par la déontologie enseignante : la mauvaise note signe aussi l'échec du professeur (souligné par nous)... » (pp. 174-175) 

« Pour beaucoup de jeunes, la réussite, c'est l'argent facile, la grosse voiture, les voyages à l'étranger et la consommation individuelle (...) L'école ne propose d'autre alternative (sic ) ; elle est incapable de présenter un modèle de réussite tournant résolument le dos à l'arrivisme individualiste. Elle ne propose aucun modèle qui permette d'accéder à de nouvelles valeurs : travailler en groupe et inventer ensemble, trouver du sens à ce que l'on fait et du plaisir à rencontrer l'inconnu (...) » (pp. 186-187)

« Juqu'en 1997, les données publiées représentaient une véritable imposture car elles omettaient un facteur essentiel, le taux de mortalité scolaire (souligné par nous) (...) Tel [lycée] n'obtient que 60% de succès, mais si son taux de mortalité scolaire n'est que de 20%, cet établissement est plus performant [que tel autre]. » (p.187)

Les multiples attaques injurieuses de Claude ALLEGRE n'étaient pas des «dérapages verbaux »  d'un ministre un peu caractériel, mais s'inscrivent dans une stratégie délibérée de diffamation et de culpabilisation des enseignants, destiné à préparer le terrain aux réformes fondées sur l'idéologie « scientifico-éducative » de Philippe MEIRIEU et ses acolytes.

Vincent DUPONT (anglais))
Elisabeth HOFFMANN(maths)
Yvan QUINTIn (lettres)
Lycée Honoré de Balzac, Paris

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Bordeaux : Le 20/21 Mai 1999 à Bordeaux : conférence biannuelle de l'association des universités européennes (C.R.E.) . Cette association collabore à la réforme néolibérale de l'enseignement supérieur, avec la commission européenne et le lobby patronal E.R.T.( dont certains membres ont participé à l'élaboration du rapport Attali). Nous jugeons nécessaire d'envisager une mobilisation en opposition à cette réunion et à la politique qui en résultera (pourquoi pas une manifestation nationale à Bordeaux).
Cette organisation nécessite une prise de contact rapide, de façon à évaluer nos possibilités de mobilisation et de préciser les modalités d'une action commune.
Notre E-mail : www.collectif203@hotmail.com
Notre adresse : collectif E203 ,à A.G.E.A.B.P.S.A. Université Michel de Montaigne , esplanade des Antilles
33405 TALENCE.

Sur l'E.R.T, consulter la

Bibliographie pour essayer de comprendre les véritables enjeux des réformes de l'éducation nationale en France :

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  • Sur l'influence peu connue, quoique très prégnante depuis les années 60, de l'OCDE d'abord, de la commission européenne et de l'ERT (European Round Table) ensuite, dans l'élaboration des réformes des systèmes de l'éducation en France et plus généralement en Europe :

  • "UN RÊVE FOU DES TECHNOCRATES ET DES INDUSTRIELS, L'école, grand marché du XXIe siècle", de Gérard de Sélys,
    Le Monde diplomatique, 6/98 http://www.monde-diplomatique.fr/1998/06/DE_SELYS/10584.html
    Tableau Noir, Résister à la privatisation de l'enseignement , 1998 de Gérard de Sélys, et Nico Hirtt Editions E.P.O. Bruxelles (voir surtout le chapitre "Preuves")
  • Confirmation de ces craintes donnée dans la conclusion d'Antoine BOUSQUET (Inspecteur général de l'administration de l'Education nationale), bien qu'il ne nomme jamais l'ERT :

  • Education et formation dans l'Union européenne : Un espace de coopération, 1998 Antoine Bousquet, La documentation française ; Collection: réflexe Europe (p. 129-130)
  • L'école sacrifiée, 1996 Editions E.P.O. Bruxelles. Nico Hirtt, analyse dans son livre la politique éducative belge depuis la seconde guerre mondiale. Ce livre analyse notamment les véritables enjeux que le discours des dirigeants socialistes belges, invoquant des "contraintes budgétaires" pour réduire les dépenses consacrées à l'école, dissimule.
  • Dans son livre L'école "à la française" en danger ?, Nathan pédagogie, 1996 Claude Lelièvre, professeur d'histoire de l'éducation à la faculté de "Sciences Humaines et Sociales - Sorbonne" rappelle ce qui a fait la spécificité de l'école à la française et lui a permis de remplir sa mission d'intégration.

  • Il interroge notamment les transformations de l'école sous l'influence des pouvoirs locaux, régionaux, et supranationaux depuis plus de quinze ans. (lois de décentralisation, introduction du projet pédagogique, rôle de la commission européenne et de l'OCDE ). Il rappelle que la coopération européenne en matière d'éducation ne manquera pas de poser le problème de la laïcité des écoles françaises. Claude Lelièvre rappelle la nécessité d'organiser un grand débat ouvert permettant aux français de comprendre, et de choisir en toute connaissance de cause les orientations, jusqu'à présent peu lisibles pour le grand public, des changements adoptés ces quinze dernières années en terme de politique éducative. Son livre donne un éclairage indispensable et très rigoureux des principes qui ont sous-tendu le système de l'éducation en France.
  • De l'école publique à l'école libérale - Sociologie d'un changement, Presses Universitaires de Rennes, 1998 d'Yves Careil
  • La pédagogie du vide, P.U.F. 1993

  • Hervé Boillot et Michel Le Du analysent comment un certain discours pédagogique ( celui de Meirieu notamment) relayé par les IUFM depuis leur création a transformé les pratiques d'enseignement et profondément modifié la finalité assignée jusqu'alors à l'école.
  • "Le néo-libéralisme à l'assaut de l'école" de Fabrice Hervieu paru dans Marianne n°90 10-17 janvier 1999, p. 52-57 : (accompagné d'une bibliographie intéressante) (apparemment non disponible sur le site internet de Marianne)
  • Le "Kit de survie" élaboré par l'OCDE en 1994/95 pour évaluer l'enseignement en Europe.

  • Publié par Marianne le 06 oct 1997. Une fois sur le site de Marianne en ligne
    http://www.marianne-en-ligne.fr/index1.asp
    Effectuez une recherche par mots clés en tapant "enseignement" 


 

Sites intéressants à consulter :

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  • Site de l'ERT

  • http://www.ert.be/
  • Site de l'Educational Multimedia Task Force, crée par Edith Cresson http://www2.echo.lu/emtf/index.html

  • renseigne sur les travaux soutenus par la commission européenne en matière de développement de multimédias éducatifs.
  • Site de la Communauté Européenne

  • http://europa.eu.int/comm/index_fr.htm
    où consulter les livres verts (documents officiels ouvrant le débat sur les thèmes étudiés par la Commission et le Parlement européen) http://europa.eu.int/comm/off/green/index_fr.htm 
  • APED

  • Appel pour une école démocratique http://users.skynet.be/aped/
    223 Av. de la Reine
    B-1000 Bruxelles.+32 (0)67 21 78 78. 
    e-mail: aped@skynet.be
    Association crée par des enseignants belges autour de Nico Hirtt (co-auteur avec Gérard de Sélys de Tableau noir . Textes d'analyse sur les systèmes français et belges ; possibilité de commander l'ouvrage de de Sélys sur ce site, analyses du dernier rapport de l'OCDE sur l'enseignement. 

Isabelle Bush

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